Quel est le point commun entre une vierge en fer et des sextolets ?
Vous ne savez pas ? Et bien découvrez l’univers des rythmes de sextolets à la batterie, la méthode pas-à-pas pour y arriver, et faire du bruit !
C’est par ici que ça se passe !
Quel est le point commun entre une vierge en fer et des sextolets ?
Vous ne savez pas ? Et bien découvrez l’univers des rythmes de sextolets à la batterie, la méthode pas-à-pas pour y arriver, et faire du bruit !
C’est par ici que ça se passe !
Bonjour tout le monde et encore merci à Magalie pour ce 2ème article, je vais finir par prendre l’habitude !
Vu que plusieurs d’entre-vous ont apprécié le précédent article sur les mesures complexes, j’en rajoute une petite couche aujourd’hui pour les plus intrépides. Continuer la lecture
Vous êtes embourbé dans votre 4/4(*) ? Vous avez l’impression de toujours taper pareil sur les mêmes rythmes?
Aujourd’hui j’inaugure un nouveau type d’article, la mise en avant d’un rythme particulier, histoire de développer votre “Rythm-o-thèque“, ou boîte à outils de rythmes et de mettre un orteil dans l’univers des signatures rythmiques composées, aujourd’hui partons explorer le 12/8 ! Continuer la lecture
je vous avais laissé la semaine dernière avec la mission de travailler cette semaine :
– un half-time feel qui apparaît lors du pont du morceau de What I’ve done
– les premiers fills
alors suspense, qu’est-ce que ça a donné ?
Dans un article précédent, j’avais fait une vidéo de prise en main du logiciel MuseScore.
Aujourd’hui, pour aller encore plus loin, je vous montre en vidéo comment :
Dans un podcast précédent, j’avais abordé le principe de la chanson-étalon comme métronome, et j’avais donné quelques rythmes d’application.
Aujourd’hui, je complète un peu la boite à outil des “grooves à base de doubles-croches de grosse caisse” par 4 nouveaux rythmes.
Le principe reste le même : placer la grosse-caisse là où on n’a pas trop l’habitude de la mettre pour donner un peu de dynamique à son jeu. Continuer la lecture
Nombre d’autodidactes n’ont jamais appris à lire des partitions, ils jouent à l’oreille, ou se contentent des tablatures.
Par exemple Dave Lombardo le batteur de Slayer, Buddy Rich, ou Steve Ferrone le batteur de Tom Petty, ne pouvaient pas lire des partitions, cela ne les a pas empêchés de devenir des batteurs reconnus.
Tôt ou tard on doit être confronté au ternaire. Si ça n’est pas dans un morceau complet écrit en ternaire, on risque de voir des passages en ternaire, des fills en ternaire. Continuer la lecture